dimanche 3 janvier 2010

Mes parents vont t'adorer !!!!!

Nikos Aliagas participera à un épisode de l'émission Mes parents vont t'adorer sur NRJ12. L'animateur devra jouer le rôle du mauvais gendre.

Nikos Aliagas va piéger les parents d'un candidat de l'émission Mes parents vont t'adorer sur NRJ12. Ce programme, produit par Benjamin Castaldi, propose à des jeunes gens de faire croire à leurs parents qu'ils ont une relation avec une célébrité.

Mais tout ne se passe jamais comme prévu. La famille sera surprise de voir les mauvaises manières de ces people lorsqu'ils sont dans l'intimité.

Après André Manoukian, Alexandra Rosenfeld ou encore Benjamin Castaldi, c'est au tour de Nikos Aliagas de jouer le jeu du mauvais gendre.

D'autres personnalités ont accepté de participer. Après Nikos Aliagas, Christine Bravo, Anthony Kavanagh et Rocco Siffredi ont accepté de se prêter au jeu.

On a hâte de découvrir ce que peut donner un Nikos méchant garçon !

Mes parents vont t'adorer

Mes parents vont t'adorer : de nouveaux numéros arrivent en février sur NRJ 12

NRJ 12 devrait proposer en février prochain des numéros inédits de Mes parents vont t'adorer, sa nouvelle émission présentée par Frédéric Joly.

D'après le magazine Télé Star, NRJ 12 proposera en février prochain de nouveaux numéros de Mes parents vont t'adorer , télé-réalité dans laquelle des anonymes font croire à leur famille qu'ils vont épouser une célébrité.

Nikos Alliagas , Christine Bravo , Anthony Delon , Rocco Siffredi (ça promet!) ont accepté de participer à ce programme présenté par Frédéric Joly et produit par Jes Prod ( Benjamin Castaldi ).

Nikos Aliagas va jouer les méchants

Nikos Aliagas a tout du gendre idéal : toujours bien habillé, de bonne composition et beau garçon.

Mais pour NRJ 12, il va se transformer en parfait goujat !

Dans l'émission Mes parents vont t'adorer, Nikos va être présenté aux parents d'une jeune fille.

Ravis que leur enfant soit amoureuse d'une célébrité, ils vont vite déchanter devant l'attitude de l'animateur.

Produite par Benjamin Castaldi, l'émission a déjà accueilli André Manoukian, Anthony Kavanagh ou encore Rocco Siffredi.

On a hâte de découvrir ce que peut donner un Nikos mauvais garçon !

Nikos Aliagas et Sandrine Quétier















samedi 2 janvier 2010

Nikos et Christophe Dechavanne

Hier soir, le Pavillon d'Armenonville abritait le traditionnel dîner de charité du Sidaction, ex-manifestation annuelle devenue association centralisant les fonds pour la lutte contre le sida. En présence de son président Pierre Bergé et de la marraine de cette édition, Carla Bruni-Sarkozy (qui étrenne ses nouvelles fonctions d'ambassadrice pour le Fonds mondial), rejointe contre toute attente par son mari Nicolas Sarkozy , les convives bien intentionnés ont répondu nombreux à ce nouvel appel aux bonne volontés.
Alors, pour ce "dîner de la mode 2009", qui fait presque jeu égal avec la performance de l'édition précédente en récoltant 700 000 euros, l'indécente avalanche de glamour dont nous avons été gratifiés (de l'angélique Vanessa Paradis à Vanessa Hessler, en passant par des miss France et une sublime Diane Kruger) n'a toutefois pas totalement éclipsé... la fête !
En témoignent les airs potaches de Christophe Dechavanne et Nikos Aliagas, attablés avec des allures d'enfants faussement sages - ou presque pris en flag'. Rassurez-vous, en dépit de leur pommettes rougies par la bonne chère et la bonne ambiance, ils ont fait honneur à leur notoriété.
Mais ont-ils seulement pensé à partager leurs blagues avec l'assistance ?

Nikos et la star Ac'

Alors que les castings s'achèvent pour les candidats encore rescapés, Nikos Aliagas, l'animateur de l'émission la plus populaire de la télé-réalité, ouvre pour TV Magazine les portes du château et présente la troisième édition de la Star Academy. Confidences et révélations à moins de trois semaines du coup de départ. Entre joie, émotion et angoisse.
Qu'est-ce que ça vous fait de revenir au château ?Ça me fait toujours quelque chose... J'ai encore les échos des deux premières éditions de la Star Ac'. J'ai toujours l'impression que je vais voir Mario, Jenifer, Houcine, Nolwenn ou Jean-Pascal sortir à chaque coin de mur ! Le château, c'est une enceinte sacrée. (Très ému.) J'ai vécu tellement de moments forts ici...
Comment vous sentez-vous à l'attaque de cette nouvelle saison ?br> Je suis comme un gosse qui fait sa rentrée scolaire : très excité ! En même temps, il y a un peu d'appréhension parce qu'on connaît le début de l'histoire mais pas la fin. Ce que je sais, c'est que j'ai encore très envie de présenter la Star Academy ! J'ai envie de m'amuser, d'autant plus qu'il y a plein de nouveautés cette année !
Quelles sont ces nouveautés ?Le château est remis à neuf et j'y veille (Rires.) ! On va aussi mettre les photos des élèves des deux promos précédentes dans la grande salle. Il y a une nouvelle directrice, des caméras supplémentaires avec des angles de vue différents, mais aussi davantage de cours en horaire et en diversité. On verra de la salsa, du rock et bien d'autres choses encore. L'âge minimum commencera à 16 ans et non plus à 18 ! On va aussi faire du spectacle pendant les prime times avec des orchestres, des medleys d'époque et des comédies musicales.
Y aura-t-il des personnalités invitées au château, comme dans Nice People ?Oui, il y en aura ! Ils viendront pour apporter quelque chose. On ne veut pas d'une personnalité qui soit là pour elle-même, mais de quelqu'un qui partage avec les élèves. L'an dernier, on avait eu Mariah Carey, Phil Collins ou Ophélie Winter qui sont venus chanter et même partager des cours avec eux. On a aussi eu Lionel Florence et Bernard Tapie qui leur ont donné des conseils.
Des changements à prévoir dans les nominations ?Ce ne sera pas systématique, mais on fera plus souvent comme l'an dernier avec des nominations en direct sur le prime time du samedi ! Les élèves passeront leurs évaluations sur scène devant les professeurs qui les jugeront en direct. C'est important le direct car les téléspectateurs qui votent ont l'impression d'être vraiment décisifs.
Comment va évoluer la quotidienne ?Les quotidiennes seront encore plus fortes qu'avant ! On aura des caméras fixes supplémentaires qui seront encore mieux disposées pour que les gens qui regardent de chez eux puissent faire les mêmes exercices, les mêmes pas de danse, les mêmes pompes. L'idée de la quotidienne, c'est d'avoir davantage de proximité et d'interactivité avec les téléspectateurs.
Vous allez regretter Alexia Laroche-Joubert ?Nathalie André, la nouvelle directrice, est super, même si je suis ému qu'Alexia ne soit plus là... On a fait un joli bout de chemin ensemble et je ne peux pas concevoir qu'elle ne passe pas de temps en temps en coulisses me demander : « Comment ça va mon petit chou ? »
Les deux premiers Star Academy ont fait un carton. La troisième édition peut-elle faire encore mieux ?L'année dernière, je me suis dit : « On ne fera jamais mieux que la première, ce n'est pas possible ! » et finalement, l'émission a super bien marché... Cette année, on ne part pas avec une confiance démesurée parce que je sais que ce n'est pas gagné d'avance ! On part avec beaucoup d'enthousiasme et, à défaut de faire mieux, on va déjà essayer de faire aussi bien.
La Star Ac' dure près de 4 mois. Comment vous préparez-vous à ce marathon ?Je sais à l'avance que je vais souffrir physiquement et mentalement. Pour me préparer, j'essaie déjà de perdre un peu de poids ! Je fais 7 à 8 heures de sport par semaine et j'économise mon énergie pour être en forme et pouvoir me concentrer au maximum sur l'émission.
Et ensuite ?Dès que la Star Ac' est lancée, je prends le temps de tout suivre ! Chez moi, je suis branché en permanence au satellite et j'ai aussi les seize photos des candidats accrochées au-dessus de mon lit ! Ça fait rire ma copine qui en a marre de partager la chambre avec ces visages qui la regardent. Je connais tout de leur vie : leur famille, leurs amis, leurs habitudes... Ça m'aide à mieux les connaître et à mieux les comprendre.
Vous semblez vraiment impliqué à fond ?Je le suis ! Ça m'est déjà arrivé de me retrouver à faire des cours devant ma télé en même temps que les élèves ! Je chante et je danse comme eux ! C'est de l'identification. Je deviens une vraie groupie... Je chante du matin au soir et j'adore ça ! J'aimerais un jour connaître la scène, mais plus tard...
Vous donnez votre avis sur le choix des candidats ?Pas sur les premières sélections, mais je suis à la réunion de clôture pour choisir les derniers. Mon avis compte aussi, mais c'est avant tout une décision collégiale : Pascal Nègre [PDG d'Universal Music], TF1, Endemol... Tout le monde a son mot à dire et ensuite, c'est en général TF1 et Étienne Mougeotte qui ont le dernier mot.
Les erreurs de casting, ça arrive ?Ça nous est arrivé, mais le seul critère sur lequel on ne se plante pas, c'est l'artistique ! On sait si le candidat a un potentiel. Ensuite, rien n'est écrit et tout peut arriver au château. Regardez Jérémie : il était sage et réservé au casting et on a vu ce que ça a donné. L'an dernier, il a même sauvé deux prime times à lui tout seul !
Parfois, il semble que certains en font moins que d'autres...C'est parce qu'ils sont épuisés ! On ne se rend pas compte de la difficulté et de la fatigue accumulées dans cette émission. La Star Ac', ça se mérite ! Les élèves se lèvent tôt et vont puiser dans leurs réserves pour tenir le coup. Ils ont les cours, ils s'entraînent, ils révisent des chorégraphies jusqu'à 4 heures du matin, ils dorment trois heures et c'est reparti ! La Star Ac' nous a appris à souffrir ; les élèves, la production, moi... On en bave tous !
On se croirait à l'armée en vous écoutant ?C'est presque la même chose. La Star Ac', c'est une machine de guerre ! Rien n'est laissé au hasard et tous les moyens nécessaires sont utilisés pour arriver à nos fins. Rien n'est improvisé car l'émission est très lourde à faire fonctionner.
Qu'attendez-vous vraiment de la Star Academy 3 ?La confirmation ! Il y a eu un apprentissage depuis deux saisons et maintenant, on espère vraiment confirmer ! Mais quoi que je fasse par la suite à la télé, ça restera gravé. La Star Ac' a marqué ma vie pour toujours...

Nikos absent

Au chevet de Johnny Hallyday à Los Angeles depuis vendredi dernier, Nikos Aliagas n'était pas en mesure d'assurer la présentation du 6-9 ce lundi matin. L'émission matinale de la radio NRJ était animée par ses deux habituels acolytes Mustapha El Atrassi et Florian Gazan.
Contacté par téléphone durant l'émission, Nikos Aliagas est revenu sur son voyage aux Etats-Unis. « Je suis parti vendredi dernier après l'émission pour aller soutenir Johnny à titre amical et privé, a-t-il déclaré. Je suis arrivé avec David Hallyday, son fils. J'ai eu du mal à sortir de l'aéroport tellement les photographes étaient surexcités. Je n'avais rien à dire à ce moment là, je ne savais pas ce qui s'était passé encore. Ensuite, j'ai pu passer beaucoup de temps avec Johnny, sa femme, son fils, ses amis très proches... C'est très impressionnant parce qu'il est sonné, il est sous sédatifs et il dort pour ne pas souffrir. C'est un coma léger pour que les antibiotiques qu'on lui donne puissent prendre plus rapidement. Petit à petit, il va aller mieux. Mon intervention au journal de 20h00 de Claire Chazal vendredi soir s'est faite à titre amical et informatif à la demande de Laetitia Hallyday pour rassurer les gens en France. Je vois Johnny tous les jours. Il dort mais je suis persuadé qu'il entend ce qu'on lui dit. Son corps réagit. »

Les prochains prime et passage à la télé

Castaldi au cœur des bataillesDans La bataille des chorales, diffusée en direct le 12 décembre, cinq artistes retournent sur les lieux de leur enfance pour monter de toutes pièces une chorale. Chacune sera soumise au vote du public. En janvier, l'animateur présentera Qui peut battre Philippe Lucas ? avant d'enchaîner avec Le grand quiz du cerveau, en compagnie de Carole Rousseau.Nikos et Le grand duel des générationsLes années 70 affrontent les années 90 au travers d'images d'archives inédites et cultes, mais aussi de variétés et d'événements en plateau. Des personnalités emblématiques de ces décennies viendront se défier lors de jeux en prime time sur TF1 vendredi. Nikos retrouvera ensuite Sandrine Quétier pour présenter un prime spécial baptisé 120 mn Inside avec notamment de nombreuses personnalités de la politique et du show-biz qui se confieront comme ils l'ont rarement fait à la télé.

Benjamin Castaldi et Nikos Aliagas amis

Rivaux ? Frères ennemis ? Pas du tout ! Si Benjamin aime le feulement des grosses cylindrées, Nikos préfère les livres anciens, mais cela n'empêche pas leur parfaite complicité. TV Magazine les a réunis à moto pour un entretien exclusif, où ils se confient sur leur amitié, leurs galères et leur bonheur à la télé. Vous vous partagez plusieurs prime times sur TF1 en cette fin d'année. Alors, concurrents ? Nikos Aliagas : C'est en effet la première fois que nous allons nous succéder, moi le vendredi et Benji le samedi. Naturellement, c'est moi qui vais me retrouver en face de NCIS. Merci, les gars ! (Rires.)Benjamin Castaldi : Mais l'arrêt de Star Academy permet de t'ouvrir à d'autres choses. C'est une chance. N.A. - En tout cas, nous ne sommes ni rivaux ni concurrents. B.C. - Nous sommes des jumeaux de télé-réalité. J'ai commencé avec Loft Story, sur M6, en avril 2001. Nikos a pris le relais en septembre avec Star Academy. Nous avons été catapultés dans des formats qui n'existaient pas et sans avoir aucune expérience du prime time.N.A. - J'ai même remplacé Benji sur Secret Story cette année parce qu'il m'a appelé la veille pour me dire qu'il était malade. Il est rare qu'un animateur demande à un autre de le remplacer.Nikos, n'avez-vous pas été inquiet de voir Benjamin arriver sur TF1 ?N.A. - Non car Benji et moi avons connu les mêmes moments intenses et les mêmes galères. Au début, nous étions des apprentis sorciers ayant débarqué dans le phénomène de la télé-réalité. Mais nous n'avons jamais réagi aux conneries des uns et des autres dans les médias, qui nous ont souvent opposés. De quelles galères parlez-vous ?N.A. - Chaque semaine, la presse répétait que Star Academy était truquée. Benji entendait la même chose sur le Loft. C'est une situation qui nous dépassait et j'en ai souffert sur le plan personnel.B.C. - Animer de telles émissions nous a fait vivre dans une pression considérable. Aujourd'hui, je me suis endurci contre les critiques.Comment voyez-vous votre avenir sur TF1 ?B.C. - Michel Drucker, notre maître à tous, m'a dit qu'après quinze ans de métier, il était encore un gamin. Il me répétait : « Tu verras, dans quinze ans tu commenceras à être un peu dégrossi et affranchi des contraintes techniques ». Il avait raison. Récemment, j'ai commencé à me détendre sur une émission, même si j'ai toujours le trac.N.A. - Sur un plateau je ne suis pas encore parvenu à me sentir comme je suis dans la vie. Le plus naturel et le plus modeste possible. Pour montrer que l'on peut résister à la pression, on commet souvent l'erreur de paraître fort. Or, le public s'en fout ! Ce qu'il faut, c'est être soi.Pourriez-vous faire autre chose que de la télé ?B.C. - Je ne me l'imagine même pas.N.A. - Je ne me pose pas la question non plus. Je vis chaque émission à fond, en me disant que c'est peut-être la dernière.La baisse générale des audiences de TF1, ces derniers mois, vous a-t-elle inquiétés ? B.C. - Ça nous a perturbés, car on a tous connu des émissions qui réalisaient de 35 % à 38 % de part d'audience. Devant la baisse, on s'est demandé ce qui se passait avant de comprendre que c'était inéluctable. 50 % de l'audience du week-end est réalisée par la TNT ! Je pense que TF1 risque encore de voir baisser ses audiences pour se stabiliser vers 24 % ou 25 %. En revanche, il n'est plus possible de monter des émissions avec les budgets que l'on a connus auparavant.N.A. - Nous ne vivons pas dans l'inquiétude. Le marché a évolué et on s'est adaptés. Même concernant nos salaires. Mais on serait ingrat de dire que l'on n'est pas heureux.Et, pour repartir, qui conduit la moto ?B.C. - Moi ! J'ai une passion pour tout ce qui a un moteur. D'ailleurs, je possède pratiquement tous les permis. N.A. - D'accord pour que tu conduises. Pour ma part, je préfère la sérénité des vieux bouquins ou cultiver ma passion pour la musique. Ils m'apprennent à prendre mon temps