Imaginez une émission avec une animatrice (Carole Rousseau), un arbitre (Denis Brogniart) et un « gladiateur » pour affronter d'homme à homme un candidat. Imaginez encore que ce gladiateur ait pour nom Benjamin Castaldi ! Celui-ci s'est façonné un corps d'athlète, car il s'apprête à entrer prochainement dans l'arène deTF1 pour un prime time événement : « Qui veut battre Benjamin Castaldi ? »
Que faites-vous dans le sud de la France Benjamin Castaldi : Je suis un entraînement physique spécifique pendant une dizaine de jours.Je me prépare en vue d'une nouvelle émission pour TF1 : « Qui veut battre Benjamin Castaldi ? ».
Quel en est le concept ?Je vais affronter un candidat au fil d'épreuves physiques et intellectuelles. C'est quelque chose qui n'a jamais été fait en France. Nous allons mettre le téléspectateur au cœur de ce match entre un candidat et moi. Certains auront envie que je perde, d'autres que je gagne. Tout le monde va s'amuser !
C'est un programme que vous produisez...Oui, car il s'agit d'un concept que j'ai déniché en Allemagne, où il cartonne. Je l'importe en France, mais je ne m'occupe pas personnellement de la production. Et cela pour des raisons évidentes : je ne peux pas être juge et partie de ce match.
Vous garantissez que vous ne serez au courant de rien ?Je connais les épreuves qui ont été proposées en Allemagne, mais je ne saurais absolument pas lesquelles auront été retenues. D'ailleurs, nous sommes contrôlés par un huissier pour garantir l'égalité avec l'autre candidat, notamment que les questions seront tenues secrètes jusqu'au prime time.
Votre entraînement, c'est du sérieux, alors ?Absolument. Du point de vue physique, je ne suis pas trop mauvais. Mon problème, c'est qu'avec mon 1,78 m pour 80 kg, j'ai une carcasse assez lourde. Sur la durée de l'émission, elle peut s'avérer un handicap. Mon objectif est donc surtout de perdre du poids.
Quel est votre programme quotidien ?Je me réveille à 7 h 30 et je ne prends pas de petit-déjeuner. Je fais toute la matinée d'entraînement à jeun pour brûler les graisses. Je fais de la musculation dynamique, du tapis de course et je surveille ma fréquence cardiaque. Rien n'est laissé au hasard.
Le midi, place à un bon gueuleton ?Non, c'est très léger avec des protéines, un peu de légumes, de l'eau et un mélange d'huile d'olive et de colza. Ensuite, l'après-midi est consacrée à la sieste, avant un petit décrassage d'une heure de jogging. Et le soir je me couche assez tôt.
Côté vie privée, c'est ceinture ?Je vous dirai juste que je suis parti sans fiancée...
Quel sera votre avantage ?L'énorme avantage, c'est le plateau télé. C'est chez moi ! Mon adversaire peut perdre ses moyens devant les caméras. Et puis, je ne suis pas Rambo, mais il se trouve que je déteste perdre. [Rires.]
Et votre point faible ?Une tendance à m'énerver rapidement. Il ne faut pas que je me laisse déconcentrer par mon envie de faire le show. Cela pourrait me coûter cher...
Cette émission colle à votre côté bagarreur...Je me suis calmé en grandissant. Du coup, je suis beaucoup plus libéré à l'antenne qu'il y a deux ou trois ans.
Avoir une émission qui porte son nom, ça flatte l'ego ?Je pense être à l'abri de ça. Nous avons hésité sur le fait de mettre mon nom dans le titre, mais comme il s'agit vraiment du principe de l'émission... Le côté arroseur arrosé me plaît.
TF1 est derrière vous, car, si vous gagnez, cela sera autant de moins à dépenser en prime versée au vainqueur ?TF1 a pris l'habitude d'être généreux. Que je gagne ou que je perde, le budget est là. Mais c'est aussi le principe des émissions où, quand on se plante à la dernière question, on repart les mains vides !
Que faites-vous dans le sud de la France Benjamin Castaldi : Je suis un entraînement physique spécifique pendant une dizaine de jours.Je me prépare en vue d'une nouvelle émission pour TF1 : « Qui veut battre Benjamin Castaldi ? ».
Quel en est le concept ?Je vais affronter un candidat au fil d'épreuves physiques et intellectuelles. C'est quelque chose qui n'a jamais été fait en France. Nous allons mettre le téléspectateur au cœur de ce match entre un candidat et moi. Certains auront envie que je perde, d'autres que je gagne. Tout le monde va s'amuser !
C'est un programme que vous produisez...Oui, car il s'agit d'un concept que j'ai déniché en Allemagne, où il cartonne. Je l'importe en France, mais je ne m'occupe pas personnellement de la production. Et cela pour des raisons évidentes : je ne peux pas être juge et partie de ce match.
Vous garantissez que vous ne serez au courant de rien ?Je connais les épreuves qui ont été proposées en Allemagne, mais je ne saurais absolument pas lesquelles auront été retenues. D'ailleurs, nous sommes contrôlés par un huissier pour garantir l'égalité avec l'autre candidat, notamment que les questions seront tenues secrètes jusqu'au prime time.
Votre entraînement, c'est du sérieux, alors ?Absolument. Du point de vue physique, je ne suis pas trop mauvais. Mon problème, c'est qu'avec mon 1,78 m pour 80 kg, j'ai une carcasse assez lourde. Sur la durée de l'émission, elle peut s'avérer un handicap. Mon objectif est donc surtout de perdre du poids.
Quel est votre programme quotidien ?Je me réveille à 7 h 30 et je ne prends pas de petit-déjeuner. Je fais toute la matinée d'entraînement à jeun pour brûler les graisses. Je fais de la musculation dynamique, du tapis de course et je surveille ma fréquence cardiaque. Rien n'est laissé au hasard.
Le midi, place à un bon gueuleton ?Non, c'est très léger avec des protéines, un peu de légumes, de l'eau et un mélange d'huile d'olive et de colza. Ensuite, l'après-midi est consacrée à la sieste, avant un petit décrassage d'une heure de jogging. Et le soir je me couche assez tôt.
Côté vie privée, c'est ceinture ?Je vous dirai juste que je suis parti sans fiancée...
Quel sera votre avantage ?L'énorme avantage, c'est le plateau télé. C'est chez moi ! Mon adversaire peut perdre ses moyens devant les caméras. Et puis, je ne suis pas Rambo, mais il se trouve que je déteste perdre. [Rires.]
Et votre point faible ?Une tendance à m'énerver rapidement. Il ne faut pas que je me laisse déconcentrer par mon envie de faire le show. Cela pourrait me coûter cher...
Cette émission colle à votre côté bagarreur...Je me suis calmé en grandissant. Du coup, je suis beaucoup plus libéré à l'antenne qu'il y a deux ou trois ans.
Avoir une émission qui porte son nom, ça flatte l'ego ?Je pense être à l'abri de ça. Nous avons hésité sur le fait de mettre mon nom dans le titre, mais comme il s'agit vraiment du principe de l'émission... Le côté arroseur arrosé me plaît.
TF1 est derrière vous, car, si vous gagnez, cela sera autant de moins à dépenser en prime versée au vainqueur ?TF1 a pris l'habitude d'être généreux. Que je gagne ou que je perde, le budget est là. Mais c'est aussi le principe des émissions où, quand on se plante à la dernière question, on repart les mains vides !
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